Le Capitalisme familial

Logiques et trajectoires. Journées d'études de Besançon, 17 janv. 2002. Postface de David S. Landes
DAUMAS
Date de publication
1er janvier 2004
Résumé
L'ouvrage remet en cause les stéréotypes des historiens américains, notamment de l'historien qui signe la postface du livre, sur le conservatisme et l'inefficacité du capitalisme familial alors qu'il s'agissait de reconstruire la France après la seconde guerre mondiale et de rattraper les États-Unis. En retraçant des trajectoires entrepreneuriales (Béghin, Hersent, Bessonneau, etc.), les auteurs montrent que les firmes familiales doivent leur succès à une étonnante capacité d'innovation et à la force d'une gestion qui s'inscrit dans la durée.
FORMAT
Livre broché
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Date de première publication du titre 1er janvier 2004
ISBN 9782848670362
EAN-13 9782848670362
Référence 110438-39
Nombre de pages de contenu principal 254
Format 15 x 21 x 1.5 cm
Poids 328 g

Le capitalisme familial : logiques et trajectoires

Sous la direction de Jean-Claude Daumas

 

Jean-Claude Daumas : Introduction : À propos du capitalisme familial

Serge Chassagne : Une affaire de familles : le capital Bessonneau, entreprise de transformation du chanvre à Angers (1840-1966)

Marc de Ferrière Le Vayer : Les Béghin, du scure au papier : l'échec d'une certaine forme de capitalisme (1870-1977

Catherine Vuillermot : Le capitalisme familial dans les groupes électriques français (première moitié du XXe siècle)

Dominique Barjot : L'entreprise Hersent : ascension, prospérité et chute d'une famille d'entrepreneurs (1860-1982)

Jean-Louis Loubet : Capitalisme familial et industrie automobile : une autre exception française

Jean-Claude Daumas : Deux modèles de capitalisme familial : capitalisme dynastique et capitalisme viager dans l'industrie lainière française au XIXe siècle

Dominique Barjot : Conclusions 

David S. Landes : Postface : Regard historien sur les entreprises et les entrepreneurs 

 

Index Des noms de personnes et de sociétés 

Table des matières

L'ouvrage remet en cause les stéréotypes des historiens américains, notamment de l'historien qui signe la postface du livre, sur le conservatisme et l'inefficacité du capitalisme familial alors qu'il s'agissait de reconstruire la France après la seconde guerre mondiale et de rattraper les États-Unis. En retraçant des trajectoires entrepreneuriales (Béghin, Hersent, Bessonneau, etc.), les auteurs montrent que les firmes familiales doivent leur succès à une étonnante capacité d'innovation et à la force d'une gestion qui s'inscrit dans la durée.

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